Le vrai bilan des « antifa » !

Alors, on sait bien que ce genre d’article n’est pas très politique, que ça fait un peu « anciens combattants »… (même si ça veut dire qu’au moins on a combattu). Mais lorsqu’on lit certains faits revisités par la mouvance antifa[1] au point qu’ils se mettent à croire leurs propres bobards, on s’est dit qu’il pouvait être bien de remettre l’église au milieu du village et de démontrer par les faits, les détails, les photos et les dates que la mouvance « antifa » de Belgique francophone  a le plus souvent été mise en échec tant sur le plan politique que « militaire[2] » par les militants de NATION !

Les militants d’extrême-gauche qui se revendiquent de la mouvance dite « antifa » ne sont que les idiots utiles d’un système politico-financier qu’ils font semblant de dénoncer mais dont ils sont, dans les faits, les meilleurs auxiliaires. En particulier dans la lutte contre les vrais opposants : les identitaires et les solidaristes.

NATION étant un farouche opposant au système et très actif, il est normal que les « antifa » se soient particulièrement braqués sur NATION, sans jamais pouvoir l’empêcher de faire ce qu’il voulait, quand et où il le voulait. Voici quelques exemples, pas vraiment réussis, de « lutte antifasciste »

Le 13 juin 2001, lors de la venue du président américain Georges Bush à Bruxelles, des militants de NATION venus protester contre cette visite sont pris à partis par une centaine de gauchistes. A un contre 10, ce sont les militants de NATION qui vont charger et repousser les gauchistes devant toute la presse audio-visuelle.

La presse flamande qui a pris un bel instantané 😉

Le 13 septembre 2003, après un rassemblement à Courcelles contre un projet de rassemblement du FN belge (qui n’aura finalement pas lieu), des militants des Jeunes FGTB, de ATTAC, des Coordinations antifascistes et pour la Paix, etc… appellent à une action contre le Congrès de NATION qui doit avoir lieu la semaine suivante. Finalement, le Congrès de NATION aura bien lieu sans AUCUN contre-manifestant, au grand désappointement de l’imposant service d’ordre mis en place pour l’occasion.

4 janvier 2007 : La FGTB appelle à un rassemblement contre l’élection de l’élu CPAS de Verviers. Croyant à faire à l’extrême-droite classique (l’intéressé a été élu sur les lises du FNB), la gauche espère pouvoir faire son « numéro » tranquille et empêcher l’élu de participer à la réunion. Sauf qu’il sera accompagné d’une quarantaine de militants de NATION qui perturbèrent « légèrement » les festivités au point que ce seront les syndicalistes qui, soudain, se retrouvèrent sur la défensive. Ceci permettant que la réunion se déroule sans soucis.

l’appel

la réception

26 novembre 2011 : À Liège, les militants de NATION tiennent tête à des bandes d’extrême-gauche qui essayaient d’empêcher la tenue d’un rassemblement citoyen voulant dénoncer l’impunité des bandes de délinquants.

Nos militants de dos et les antifa, loin  derrière la police

17 juin 2012 : De violents incidents éclatent entre la police et des extrémistes de gauche qui cherchaient à se confronter aux militants de NATION en marge d’une manifestation contre les extrémistes islamistes. Énorme retentissement médiatique.

Nos militants en attente des crapules gauchistes qui, heureusement pour elles, furent arrêtées par la police

22 septembre 2012 : NATION tient un point presse à Ath pendant que plusieurs dizaines de militants extrémistes de gauche, voulant les agresser, se font arrêter par la police.

Février 2014 : les militants de NATION distribuent pendant deux heures, un bon millier de tracts sur le vaste marché de la Batte, en plein Liège. Et ceci malgré les pathétiques tentatives de militants d’extrême-gauche qui espéraient les en empêcher

Début avril 2014, les militants de NATION, en marge d’un meeting à Bruxelles où un message vidéo de Marine Le Pen devait être diffusé, se défendent brillamment à un contre six face à des casseurs d’extrême-gauche.

Les militants de NATION ont toujours fait face aux crapules gauchistes , même en surnombre

En avril 2014, ils ont même « perdu » un drapeau

Janvier 2015 : À l’occasion de la venue d’Eric Zemmour à Bruxelles, l’extrême-gauche appelle à l’empêcher de s’exprimer. NATION appelle à un contre-rassemblement pour défendre la liberté d’expression. Les gauchistes se dégonflent et laissent la rue à NATION qui connaîtra une grande attention médiatique.

Eux, enfin personne lol

NOUS !

Le 1er Mai 2015, un peu avant le début du cortège de NATION,  6 de ses militants sont agressés par des dizaines de militants gauchistes dont certains casqués et armés. Malgré cette agression, par ailleurs vaillamment repoussée, le cortège de NATION a bien pu se tenir.

La rue, ça se tient !

Deux ans durant (2016 – 2017), les « antifa » vont tout faire pour obtenir la fermeture du local de l’Alliance for Peace and Freedom[3] à Bruxelles : campagne de presse, diffamation, menaces, vandalisme, manifestations dont certaines ont donné suite à des attaques en règle par des extrémistes de gauche…Une d’entre elle en décembre 2016, tournera totalement à la confusion des gauchistes qui subirent 60 arrestations et une couverture médiatique très défavorable. Finalement, c’est le montant très élevé du loyer qui nous poussera à quitter les lieux au bout de 2 ans, et en rien les puérils agissements des gauchistes.

Début janvier 2017, alors que fanfaronne sur Internet un groupe intitulé « Bruxelles Zone Antifa », NATION et Voorpost manifestent en plein Bruxelles contre la venue d’Angela Merkel. Et ceci sans le moindre contradicteur.

Le 1er mai 2017, NATION tient à  Anvers avec ses camarades flamands de la NSA, une réunion en plein air à quelques centaines de mètres de la manifestation des syndicats et du PTB.

Le 1er mai 2018, NATION organise un rassemblement en plein air dans le centre de la très rouge Charleroi. Un appel à contre-manifester ne donnera rien !

NATION manifeste partout, même dans les villes dites rouges, ici à Charleroi

Novembre – Décembre 2018 : les antifa appellent sans cesse à « jeter » les membres de NATION hors des cortèges « gilets jaunes » sans arriver à le faire une seule fois.

Quand c’est les antifa eux-mêmes qui reconnaissent que nous avions « la main » au début des Gilets Jaunes

Décembre 2018 : En attaquant un local de NATION à Liège, les militants « antifa » reçoivent de leur propre aveu, une sérieuse correction. Certains devront aller se faire soigner à l’hôpital…

Quand c’est impossible de nier la branlée…

Février 2019 : Incidents à la conférence de Theo Francken à Verviers, NATION est passé ! (comme toujours)

19 mai 2019 : A l’occasion de la campagne électorale, les militants de NATION occupent le marché de la batte à Liège, sans aucun problème alors que les « antifa » avaient promis de les en chasser.

Liège Antifa ? Mon oeil !

Le 20 octobre de la même année, lors d’une marche pour l’aggravation des peines pour les tueurs d’enfants, les militants de NATION s’imposent dans le cortège alors quelques antifa « jouaient au service d’ordre ». Du début à la fin, les militants antifa durent subir la présence de NATION sans rien savoir y faire. Ce n’est qu’à la dislocation que les antifa firent un petit numéro au moment où les militants de NATION partaient. Ce n’est d’ailleurs que l’intervention de la police qui a empêché les identitaires de revenir s’expliquer avec les antifa.

Comme semble l’exprimer, notre militant sur la photo : c’est quand vous voulez hein !

 

[1] Extrême-gauche violente qui justifie ses méfaits par la lutte contre le « faaaascisme »

[2] Terme évoquant les confrontations directes entre militants

[3] parti pan-européen dont NATION fait partie

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