Répression à la soviétique !

Pour un article paru la semaine dernière sur le site de NATION, suite à la tragique fusillade de Merchtem, le titre choisi fut « La chasse est ouverte »…avec les nationalistes réels ou présumés comme gibier.

Mais cette chasse était déjà ouverte depuis l’affaire Jurgen Conings, ce militaire présenté comme un futur terroriste alors qu’il avait simplement mis fin à ses jours, en dénonçant le système dans lequel nous vivons.

A ce moment-là, Koen J., militant flamand nationaliste bien connu, était arrêté par le régime belge. Il était en dépression et avait eu quelques mots durs contre le régime. Les forces de police l’ont arrêté  dans le cimetière où sa mère est enterrée.

Immédiatement, Koen fut présenté dans la presse mensongère comme « un dangereux terroriste d’extrême droite ». Mais aucune preuve n’a été présentée. Lors d’un procès non public, il a été décidé que Koen devait être interné…Cela signifie donc qu’il est malade et qu’il a donc besoin d’aide. Pourtant, Koen a été jeté à la prison ordinaire de Gand. En tant que nationaliste, il y a été menacé à plusieurs reprises.

La détention de Koen comme interné dans la prison ordinaire est une violation des droits de l’homme européens, en particulier l’interdiction de la torture et des traitements inhumains. Le régime belge a été internationalement condamné pour cette pratique des dizaines de fois, mais continue d’appliquer cette pratique inhumaine, maintenant aussi sur Koen. Pendant ce temps, même les tueurs de policiers sont libérés plus tôt, et les violeurs s’en tirent avec pour mission d’écrire une dissertation…

Tant que le régime belge continuera ce traitement inhumain, qui dure maintenant depuis un an, le nationaliste Koen doit être considéré comme un prisonnier politique, victime des mêmes méthodes d’emprisonnement psychiatrique que pratiquaient le régime soviétique à une époque.

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