Après les Grecs d’Aube Dorée et les Italiens de Forza Nova, c’est au tour de l’Espagne de voir les autorités frapper les patriotes. Et ceci au travers de l’affaire dite de Blanquerna.
Blanquerna est le nom d’une librairie catalane en plein centre de Madrid que les indépendantistes catalans considèrent comme leur “ambassade”. En septembre 2013, à l’occasion d’une réunion de ces indépendantistes, des militants patriotes de divers groupes patriotes espagnols dont ceux de Democracia Nacional sont entrés en force dans les locaux pour perturber la réunion en scandant « La Catalogne, c’est l’Espagne », avant de s’en aller comme ils étaient venus.
Mais voilà, le gouvernement actuel de Pedro Sanchez est allié avec les indépendantistes catalans et cette action a été perçue comme une gifle. Les 14 militants furent interpellés et par après condamnés à rembourser une porte cassée, reçurent une amende et des peines de prison allant de 4 à 6 mois de prison.
Mais le Parquet a fait appel et les peines ont, dans certains cas, été quadruplées. La semaine passée 10 des 14 militants condamnés ont reçu, 8 ans après les faits, leur billet d’écrou. Ils ont maintenant 10 jours pour rentrer en prison. Dans le cas de Pedro Chaparo, de Democracia Nacional, il ne verra donc pas la naissance de son enfant qui va naître dans 3 mois.
NATION marque sa totale solidarité avec nos camarades espagnols, mais aussi italiens et grecs !
Les états dits démocratiques ont peur de la véritable opposition et ils utilisent tous les outils en leur pouvoir pour essayer de la détruire.
David JEAN
