En Grande Bretagne, une commission d’enquête investigue depuis 2015 sur les méthodes d’infiltrations « très particulières » de certaines unités de police…
Ces jours-ci, la presse britannique a évoqué un témoignage récolté dans le cadre de ces recherches. Témoignage qui indique qu’un policier infiltré aurait incité, à plusieurs reprises, des syndicalistes d’extrême-gauche à aller incendier un local appartenant à Roberto Fiore, secrétaire-général du mouvement nationaliste d’Italie « Forza Nuova ».
En effet, bien qu’Italien, Roberto Fiore a longtemps résidé à Londres et possédait une propriété à Shirland Road. Propriété utilisée comme un magasin de charité par une œuvre caritative de la mouvance catholique traditionaliste.
Le policier essaya de motiver les syndicalistes au motif que Fiore « était un fasciste ». A noter que cette action aurait pu se révéler mortelle puisque les locaux faisaient partie d’une plus grande propriété, qui comprenait à l’époque un logement résidentiel d’infirmières.
Suite à ces révélations, Roberto Fiore s’est dit prêt à collaborer avec cette commission afin de dénoncer d’autres actes de l’époque qui ont pu être le fruit de provocations policières du même style.
Ce genre d’information doit tous nous interpeller sur la quasi-impunité, en Belgique aussi, de l’extrême-gauche violente. Et on repense bien évidemment à l’attaque, en octobre 2018, à la bouteille incendiaire contre un local liégeois de NATION. L’enquête sur cette attaque, qui s’est déroulée en plein jour, n’a jamais aboutie et pour autant qu’on le sache, n’a jamais vraiment débutée alors qu’ici aussi, il aurait pu y avoir des morts.
Ceci démontre en tous cas, une fois de plus, que les «antifa» de nos jours ne sont ni plus ni moins que les larbins du système politico-financier qu’ils ne font, somme toute, que protéger.
