Une fois de plus, ce samedi soir alors que les « barrages » des gilets jaunes étaient bon enfant, la police a dégagé le rond-point du Marsupilami avec des moyens lourds (quatre pelotons, 1 arroseuse, des véhicules blindés).
Par contre, la police a laissé agir de vrais casseurs (issus principalement de bandes de racailles) dans le reste de la ville.
On peut se demander ici s’il ne s’agit pas d’une stratégie, non pas de la police qui nE fait qu’obéir aux ordres, mais bien de ce qu’on appelle l’autorité administrative (les politiciens) qui veulent laisser les casseurs détruire la ville, juste pour salir le mouvement pacifique des gilets jaunes et casser le capital réel de sympathie que les gilets jaunes ont au sein de la population.
Quoi qu’il en soit, demandons des comptes aux autorités le vendredi 30 Novembre à la Rue de la Loi !

Où étaient tous ces moyens quand les racailles pillaient le centre-ville ?