Deux faits particulièrement révoltants marquent cet automne.
Le premier est qu’actuellement Simone di Stefano, vice-président du mouvement italien Casapound(1) est toujours en résidence surveillée, après un passage en prison. Son crime ? Avoir voulu empêcher l’expulsion d’une famille italienne de leur domicile.
L’autre est l’interdiction, par une municipalité proche d’Athènes, de la commémoration prévue début novembre en la mémoire de deux militants nationalistes grecs d’Aube Dorée. Militants lâchement assassinés voici 3 ans par des « inconnus » (l’enquête n’a évidemment encore rien donné !).
Ces deux tristes exemples montrent ce qu’est cette soi-disant Europe démocratique qui, alors que les djihadistes tuent dans nos rues et que les gauchistes cassent et commettent des attentats, ne sait s’attaquer qu’à ceux qui protègent justement les Européens.
Cela semble bien être le seul crime qui inquiète les technocrates et les financiers qui nous dirigent !
Plus que jamais, n gauche, ni droite : une Troisième Voie solidariste et identitaire !
(1) Ce qui ne signifie pas que nous partageons l’ensemble des idées, positions ou stratégies de Casapound. Mais face à la répression, nous nous devons d’être solidaires.